26 mai 2024 – 17h00 – Salle Paul Eluard

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26 mai 2024 – 17h00 – Salle Paul Eluard

Category:Programmation annuelle

L’OPP est un grand orchestre symphonique composé d’une soixantaine de musiciens, tous bénévoles et passionnés de musique.

L’Orchestre Philharmonique de Provence (OPP) est une association loi 1901 créée en 1982 et enregistrée à la Préfecture des Bouches-du-Rhône (France) sous me numéro W133007176 et sousle numéro SIRET 383 394 178 00016.

L’OPP est basé à Marseille et compte dans ses rangs de nombreux jeunes artistes, lauréats desconservatoires de musique régionaux.
A ce titre, l’OPP est agréé par le Ministère de La Jeunesse et des Sports.

Les objectifs de l’Orchestre sont :
– Promouvoir la culture musicale en milieu scolaire et rural.
– Préparer et animer des concerts publics.
– Organiser des stages instrumentaux et de direction d’orchestre.

L’OPP invite en permanence des solistes confirmés, ainsi que de jeunes talents prometteurs.

Chef d’orchestre d’origine indienne, Dylan SAMUEL a étudié la direction d’orchestre auprès de Jean-Louis Maes au Conservatoire de Région Toulon Provence Méditerranée, puis comme assistant de Marie-Christine Forget à l’Ensemble Instrumental Méditerranéen et au Chœur Régional Mare Nostrum. Il se perfectionne par la suite avec les chefs Franck Villard, Arnaud Pairier et François Dorion.

Dylan SAMUEL a eu le privilège d’accompagner des solistes internationaux notamment François René Duchâble, Éliane Reyes, Élena Rozanova…
Il est nommé sur concours directeur musical de l’Orchestre Philharmonique de Provence à Marseille.

Organiste, élève de Jérémie Noyer, il est successivement organiste associé de l’église Saint-Michel de Draguignan, organiste titulaire de l’église Saint-Laurent de Flayosc, puis officie actuellement comme organiste associé de la Cathédrale de Fréjus, de l’église de Sainte-Maxime et des églises de Gardanne-Meyreuil.

Passionné par les musiques traditionnelles d’Irlande, il joue du uilleann pipes et des whistles irlandais dans de nombreux ensembles (Arwen, Ossian, Silver Drops, Épona…).

Clarinettiste de formation, il est membre de l’Ensemble Musical de la Croix Valmer, formation professionnelle du Golfe de Saint-Tropez.

Fortement attaché à la création, il a dirigé les œuvres de plusieurs compositeurs, notamment Nicolas Mazmannian, Luc Baiwir ou encore Étienne Kippelen.

Engagé dans l’enseignement, il a été professeur d’orchestre au Conservatoire Dracénie Provence Verdon, puis dans plusieurs établissements du Pays d’Aix.

Sa passion pour la musique de film et d’animation japonaise, l’amène à échanger avec plusieurs compositeurs japonais, ainsi que de nombreuses personnalités (Yuji Nomi, Tamiya Terashima, Michel Barouille, Philippe Ariotti, Dominique Poulain, Peter Lorne…). Il a également dirigé de nombreux concerts autour de la musique d’animation japonaise.

Dylan SAMUEL est chargé d’enseignement (direction d’orchestre – créations contemporaines) au département musicologie de l’Université d’Aix-Marseille, il est professeur au Conservatoire Intercommunal de la Provence Verte, ainsi qu’à l’école de musique de Saint-Cannat.

Après avoir suivi une formation classique au Conservatoire de Marseille et obtenu un prix de musique de chambre et de formation musicale (le prix Pierre Barbizet), il accompagne régulièrement divers ensembles vocaux classiques, notamment la Maîtrise Gabriel Fauré, au piano et à l’orgue liturgique. Il a, à son actif, une expérience à l’international en musique classique et musiques du monde (Suède, Norvège, Danemark., Allemagne, République Tchèque, Bulgarie, Suisse, Belgique, Viêtnam, Italie, Monaco, Le Vatican). Son expérience dans le jazz et en big band débute en 2010, il joue avec diverses formations régionales : le big band de Cabriès, le Garden Swing Big Band, l’Aubagne Jazz Band, le Big Band de Pertuis. Il a aussi participé à l’enregistrement d’un album avec le Garden Swing Big Band et de deux albums heavy metal avec le groupe Style Trip.

Rhapsody in Blue est une œuvre pour piano et orchestre composée par George Gershwin en 1924, qui combine des éléments de musique classique et de jazz L’œuvre a été orchestrée par Ferde Grofé à trois reprises, en 1924, 1926 et finalement en 1942. La première eut lieu lors d’un concert intitulé An Experiment in Modern Music le 12 février 1924 à l’Aeolian Hall de New York, interprétée par l’orchestre de Paul Whiteman, commanditaire de l’œuvre, avec George Gershwin au piano. Le Cambridge Music Handbook estime que « Rhapsody in Blue a établi la réputation de Gershwin comme compositeur de renom et est depuis devenue une des plus populaires œuvres orchestrales américaines ».

C’est dans un train de Boston que Gershwin a eu les idées pour Rhapsody in Blue. Il commença le 7 janvier, comme indiqué sur le manuscrit pour deux pianos. La composition fut achevée en quelques semaines et Les orchestrations furent finies le 4 février, huit jours seulement avant la première.


Dvorak compose la Symphonie du Nouveau Monde durant son séjour aux États-Unis (1892-1896) alors qu’il travaille comme directeur du Conservatoire de New York et vit sur la Première avenue de Manhattan. La partition est écrite entre janvier et mai 1893.

Le deuxième mouvement est le plus reconnu par la nostalgie qui en émane. Dans un article publié le 15 décembre 1893 dans le New York Herald, Dvorak explique en quoi la musique des Indiens d’Amérique a influencé sa symphonie :
« Je n’ai utilisé aucune des mélodies indiennes. J’ai simplement écrit des thèmes originaux englobant les particularités de cette musique et, utilisant ces thèmes comme sujets, je les ai développés avec les moyens des rythmes modernes, contrepoints et couleurs orchestrales. »

Dans le même article, Dvorak indique qu’il considère le deuxième mouvement comme « une étude pour une future œuvre, soit une cantate ou un opéra… qui sera fondée sur The Song of Hiawatha de Longfellow » (il n’écrivit jamais cette œuvre). Il précise également que le troisième mouvement scherzo est « inspiré d’une scène de fête dans Hiawatha pendant laquelle les Indiens dansent ».

La symphonie est créée le 16 décembre 1893 au Carnegie Hall, sous la direction d’Anton Seidl.

Neil Armstrong emporta un enregistrement audio de cette symphonie lors de la mission Apollo 11, la première à déposer un homme sur la Lune, en 1969.


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